Le 18 mars 2002, le vice-président irakien Taha Yassine Ramadan a indiqué que son pays accepterait le retour des inspecteurs en désarmement des Nations unies, mais seulement si l'ONU définissait les sites à visiter et fixait un calendrier pour leur mission. Courant janvier et février 2004, les attaques aux engins piégés des points de recrutement de la police et de l'armée irakienne se multiplient. Aux États-Unis, 25 % des sans-abris sont d'anciens militaires[168]. La dernière unité de combat présente en Irak, la 4e brigade de la 2e division d’infanterie, a quitté le pays la nuit du 18 au 19 août 2010 par la frontière koweïtienne. la France qui estime que le désarmement de l'Irak doit mener non pas à la suspension mais à la levée des sanctions qui pèsent sur l'Irak ; la Chine, qui met en garde contre le recours arbitraire à la force ; la Russie qui considère que pour la bonne exécution de la résolution, il faut l'arrêt des incessants bombardements américains et britanniques. Corée du Nord : Kim Jong-un promet un sous-marin nucléaire, Twitter : le compte de Donald Trump suspendu « de façon permanente ». Accroissement spectaculaire du nombre de familles atteignant le seuil minimal de pauvreté, du fait du chômage, pillages, déplacements forcés. Le gouvernement irakien perd le contrôle d'un tiers de son territoire[13]. Le 15 décembre 2011, les Américains annoncent la fin de la guerre et les derniers soldats quittent le pays le 18 décembre[15], ne laissant que quelques soldats chargés d'entraîner les forces irakiennes et un contingent de Marines affecté à la protection de l'ambassade des États-Unis en Irak à Bagdad qui abrite plus de 5 500 Américains et des milliers d'employés étrangers. Tom Donnelly explique à ce propos : «. Par la suite, après la reprise d'un nouveau conflit fin 2013, Iraq Body Count comptabilise la mort de 190 000 Irakiens entre 2003 et 2017, dont 72 000 rien qu'à Bagdad[148]. L'UNSCOM veille au démantèlement des armes de destruction massive irakienne conjointement avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Ce nombre est repris par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), mais selon France 24 il suscite la controverse : « le groupe a mené son enquête en interrogeant environ 10 000 foyers irakiens sur les pertes dans leurs familles respectives. On estime que la maintenance des hélicoptères a représenté, depuis le début des opérations d'Afghanistan en 2001, 20,6 milliards de dollars, et la maintenance globale pour 2006 est évaluée à 200 millions d'heures de travail. John Loftus, ancien procureur fédéral des États-Unis, a publié un rapport fin 2007[93] sur les collusions entre le régime bassiste et les envois d'enveloppes contaminées au bacille du charbon et la présence, selon lui, d'ADM en Irak en 2003. Finalement, moins d'un mois avant la date de l'invasion, la Turquie n'autorisa pas les forces terrestres américaines à opérer depuis son territoire ; néanmoins, compte tenu de la faiblesse de la logistique irakienne, la plus grande partie de l'armée irakienne du Kurdistan fut forcée de demeurer sur place, à l'exception de quelques unités de la Garde républicaine qui furent envoyées en renfort des unités de la Garde qui assuraient la défense de Bagdad[réf. Cependant, quand Lewis S. Libby, secrétaire général du vice-président Dick Cheney, avait remis ce discours à Colin Powell, ce dernier l’aurait rejeté en disant : « c’est de la merde, rien ne se tient ! nécessaire][76][réf. La deuxième guerre d'Irak a été menée sous l'impulsion des États-Unis. Ils ne peuvent pas non plus diffuser d'informations sur les unités des opérations spéciales. Bataille de chiffres autour du nombre de morts côté irakien, Le bilan de la guerre d’Irak, objet de controverse, : Affrontements entre chiites et sunnites en Irak après l'attaque du mausolée de Samarra, : « Liberté en Irak Â», retour sur le fiasco de l'invasion américaine, THE IRAQI WMD CHALLENGE -- Myths and Reality. Le 23 mai 2003, Paul Bremer, alors administrateur civil de l'Irak, ordonnait la dissolution de l'ancienne armée irakienne, des ministères de la Défense et de l'Information. L'accusation de mensonge lancé contre l'administration Bush au sujet des justifications de l'intervention militaire a provoqué des troubles dans l'opinion publique américaine. La guerre contre la coalition a laissé place à une nouvelle lutte fratricide entre la majorité chiite au pouvoir (ancienne bête noire du régime de Saddam Hussein) et les sunnites (soutiens de l'ancien dictateur). La guerre n’arrange jamais rien dans un pays ou elle règne pendant trop longtemps ! Cette guerre est l'une des rares mises en oeuvre[9] du concept de guerre préventive, ici menée pour parer à la menace des armes de destruction massive dont l'administration Bush affirmait à tort détenir la preuve dans un rapport présenté au conseil de sécurité de l'ONU le 12 septembre 2002[10]. Fin juillet 2008, le président Bush annonce le retrait des troupes américaines des agglomérations irakiennes pour la fin juin 2009 et la date du 31 décembre 2011 pour le retrait des unités combattantes américaines de ce pays[115]. Elle lance de nouveaux bombardements aériens contre le PKK en Irak en août 2011[135], en octobre 2011[136], en février 2012[136] et en juillet 2015[137]. C'est la menace contre Israël. En décembre 2013, la situation dégénère et des tribus sunnites se soulèvent dans la province Al-Anbar. Détérioration des canalisations d'eau des principales villes irakiennes. 2013 marque l'apogée de ces violences, plus meurtrières qu'en 2008, en plein coeur du conflit. Chaque fois qu'une telle découverte a été réalisée, les munitions ont été identifiées et déplacées vers un des sept dépôts où elles ont été détruites, ou ont été détruites sur le lieu de leur découverte. L'infanterie mécanisée américaine, fortement blindée, avec ses chars lourds de combat Abrams, ses VCI Bradley, accompagnée d'une très puissante artillerie lourde (automoteurs M109 howitzer et lance-roquettes multiples M270) et disposant d'une suprématie aérienne totale, a ensuite contourné les villes dans leur marche vers Bagdad. Disparition du tourisme (déjà quasi inexistant sous la dictature de Saddam Hussein) en raison de l'état de guerre et de l'insécurité permanente. Le nombre des civils français d'Algérie victimes du terrorisme est connu, lui aussi, avec précision : 2 788 tués, 7 541 blessés et 875 disparus. nécessaire])) et quatre des six divisions de la Garde républicaine (chaque division de la Garde étant d'une force militaire équivalente à une brigade de la Coalition : au total, trois Brigades blindées en combat rapproché[note 4] et 1 Brigade d'infanterie motorisée[note 5][réf. Le pétrole coule toujours ! Pour cette étude, les chercheurs ont sondé des adultes d'environ 2 000 foyers installés dans une centaine de régions à travers l'Irak et les ont interrogés sur les circonstances de la mort de personnes de leur entourage[156]. 8 de la Résolution 687 du Conseil de Sécurité, 3 avril 1991. L'ISG affirme dans son rapport que parmi les ADM recherchées, figureraient quatre-vingt tonnes de gaz moutarde qui ont disparu des entrepôts irakiens[89]. Les personnes sondées ont attribué la mort de leurs proches aux forces de la coalition dans 35 % des cas et aux groupes insurgés dans 32 % des cas[156]. En juin 2003, la Coalition a mis sur pied l'Iraq Survey Group (ISG) chargé d'enquêter sur les anciens programmes d'armes de destruction massive irakiens. Elle comprend les notices de la base des documents en caractères latins accessible en ligne sur le site de la BDIC. Cela remettrait les effectifs américains au niveau de décembre 2005 au moment des élections législatives dans ce pays[189]. Un nouveau sondage commandé par CNN au début du mois d'août 2006 montre que les partisans de la guerre sont très minoritaires : 36 % approuvent encore le conflit en Irak alors que 60 % le rejettent[187]. Durant l'Operation Desert Storm (1990-1991), la plupart des sites de production d'armes chimiques ont été fortement bombardés, mais de grandes quantités de munitions remplies ou vides et de composants chimiques sont restées sous le contrôle du régime à la fin de la guerre[81]. Les infrastructures médicales, primordiales, font cruellement défaut. Au début de l'année 2017, le gouvernement britannique a supprimé l’organe chargé d’enquêter sur les accusations de violation des droits de l’homme par les soldats britanniques en Irak. La lettre du MaghrebDemain 2021 : ce que le Covid va changerLettre de Buckingham, Expérience Le Point Le 22 mai 2003, la résolution 1483 voté par le conseil de sécurité des Nations-Unis demande aux puissances occupantes de travailler à la formation d'une administration provisoire « jusqu'à ce qu'un gouvernement internationalement reconnu et représentatif puisse être établi par le peuple irakien Â». B. Woodward, « Plan d’attaque Â», Folio documents. Cela se manifeste par des manifestations, une augmentation du nombre d'attaques terroristes islamistes (principalement dans le monde musulman et en Irak mais aussi en Europe et notamment France dans les années 2010) et du nombre de prise d'otages d'Occidentaux (ou de ressortissants des pays qui ont fait partie de la Coalition). Nous sommes OJD À la suite des menaces terroristes, qui se sont exprimées avec les attentats du World Trade Center, et le déclenchement de la guerre contre le terrorisme (Irak et Afghanistan), cela a permis à l’administration Bush de devenir un rempart contre le terrorisme aux yeux de millions d’Américains et a permis le déploiement sans précédent de la puissance militaire américaine et de renforcer l’image de Bush en tant que « patriote Â» et « défenseur de la nation Â». Cette étude compare les taux de mortalité dans les foyers de 1 982 individus en 2006 (certificats de décès à l'appui) à des chiffres officiels de 2003. Un examen préliminaire datant de 2006 a déjà été clôturé faute de preuves par l'ancien procureur Luis Moreno Ocampo et avait décidé de pas ouvrir d'enquête en Irak. Dans son éditorial du 8 juillet 2007, le New York Times affirmait : « Il est temps pour les États-Unis de quitter l'Irak, sans plus de délai qu'il n'en faut au Pentagone pour organiser un retrait méthodique[194]. Au total plus de 39 000 militaires pour lesquels les fiches comprennent principalement le nom, le prénom, l’unité, la date et le lieu de naissance, ainsi que la date, le lieu et la cause du décès – auxquels s’ajoute la mention « Mort pour la France » quand elle … Saddam Hussein, quant à lui, est arrêté dans une cave par l'armée américaine à Tikrit dans la nuit du 13 au 14 décembre 2003, avec l'aide de Kurdes. Au mois d'août 2004, la ville sainte de Najaf est l'enjeu d'un siège et de combats urbains, dont l'épicentre est le mausolée d'Ali, et les trésors (livres rares, bijoux, objets d'orfèvrerie, pierreries) qu'il renferme. Aucune critique ou contribution n'apparait, faisant cruellement défaut aux programmes. La Seconde Guerre mondiale fut le conflit le plus meurtrier de l'Histoire avec plus de 60 millions de morts soit 2,5 % de la population mondiale La guerre civile russe, Les historiens ne s'accordent pas sur le nombre de morts, évalué entre 8 et 20 millions, mais la saignée est énorme, bien supérieure à celle de la guerre mondiale. La guérilla irakienne est menée côté sunnite, principalement par l'Armée islamique en Irak, par les baasistes de l'Armée des hommes de la Naqshbandiyya et par les djihadistes d'Al-Qaïda en Irak qui forment en 2006 l'État islamique d'Irak. Si l’on compare ces chiffres avec ceux des effectifs mobilisés, on s’aperçoit que l’Autriche-Hongrie présente le pourcentage de plus élevé de morts par rapport aux combattants (17,14%) devant la France (16,74%… Une dizaine a été détruite devant les médias quelques semaines avant l'invasion. C'est sans surprise la Seconde Guerre Mondiale qui remporte la triste palme du plus grand nombre de victimes. La situation du gouvernement irakien est d'autant plus précaire qu'il contrôle mal ses propres forces de sécurité. Libérer l'Irak de son dictateur Saddam Hussein, afin que l'Irak devienne un pays uni, stable et libre, appuyer la reconstruction et l'aide humanitaire, minimiser les dommages causés à l'infrastructure du pays et à la population civile, condamner Saddam Hussein pour ses crimes (violation des droits de l’homme), punir l'Irak pour les 16 résolutions des Nations unies qu'elle n'a pas respectées et le non-respect du programme « pétrole contre nourriture 2 Â». "La Turquie bombarde des bases de la rébellion kurde en Irak", "La Turquie mène de nouveaux raids aériens contre les rebelles kurdes", Le Monde avec AFP, 29 juillet 2015, « Des hélicoptères iraniens bombardent le Kurdistan irakien Â», "Iranian Incursion Into Iraqi Kurdistan Keeps Regional Players Guessing", RFE/RL, 20 juillet 2011, US released senior Iranian Qods Force commander, « Irak : Washington informe les sociétés de sécurité de la levée de leur immunité Â», WikiLeaks révèle l'horreur de la guerre en Irak, États-Unis : la guerre en Irak aurait fait plus de 162 000 morts, Iraq Body Count Press Release 14 (16 octobre 2006) :: Iraq Body Count, Plus d'un million d'Irakiens tués depuis 2003, Irak: le conflit a tué 500.000 personnes, Mortality in Iraq Associated with the 2003–2011 War and Occupation: Findings from a National Cluster Sample Survey by the University Collaborative Iraq Mortality Study, même chiffre pour l’ambassade de France au Danemark, La fuite vers Damas, Talia Bouchouareb, L'EXPRESS.fr du 18/04/2007, Rapport du site du département de la défense US, American Contractors in Iraq Face Risks - New York Times, Dure, dure, la vie de vétéran américain. Pollution de l'eau par la mise à feu de plusieurs raffineries pétrolières et par les combats, ce qui empêche les agriculteurs de produire suffisamment. Les soldats de la coalition ? Le 28 mars 2007, le Sénat des États-Unis vote le retrait des troupes américaines d'Irak d'ici le mois de mars 2008[191]. Le plasticien Phil Hansen a, par la suite, stigmatisé le conflit à travers son portrait-charge de George W. Bush comportant les mentions nominales des soldats américains morts en Irak. À ce titre, les médias ne peuvent pas rapporter l'appellation des unités, les noms des opérations et la taille des forces alliées impliquées, avant que cela n'ait été rendu public par l'unité opérationnelle ou le MNF-I. Cela s'est traduit par un grand nombre de manifestations anti-américaines et contre la guerre. Le 15 avril 2002, le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld a dit douter que de nouvelles inspections permettent de lever les doutes sur les programmes d'armes de destruction massive de Saddam Hussein. chronologie de la geurre d'irak Modifier. La résolution a été adoptée avec 11 votes pour, et 4 abstentions dont trois membres permanents sur les 5 du Conseil de Sécurité : L'Irak a rejeté cette nouvelle résolution, principalement parce qu'elle ne respecte pas les conditions pour la levée des sanctions imposées depuis 1990[46]. En octobre 2015, Tony Blair, fit part de ses regrets face à la guerre en Irak, en particulier en raison des informations erronées qui avaient conduit à l’option militaire[96]. En remplacement de cette Division d'infanterie mécanisée, l'armée américaine envoya au Kurdistan une Brigade aéroportée, principalement destinée à empêcher une intervention de l'armée turque dans cette région et à contrôler l'action des forces kurdes du PDK et du UPK[réf. Le conflit qui s'est achevé en Irak a laissé une perception trouble de son déroulement réel et de l'adversaire irakien. La CIA est mise en cause. nécessaire], et les onze autres au Kurdistan[réf. Des combats sont menés pendant plusieurs jours dans les villes d'Umm Qasr et de Nassiriya, pendant près de deux semaines à Bassorah, la résistance des Irakiens, combattant exclusivement en milieu urbain ou semi urbain, étant plus forte que ce que l'état-major de la Coalition ne l'avait escompté. Et le gouvernement américain ne veut pas trop s'appesantir sur elle dans son discours justificatif, parce que ce n'est pas un argument de vente populaire. Néanmoins, ce n’est pas l’avis de tout le monde. Du 16 au 19 décembre 1998, le Président Clinton a ordonné de bombarder l'Irak pour le punir de son manque de coopération avec les inspecteurs des Nations unies : Saddam a survécu aux quatre jours de bombardement, mais ce n'a pas été le cas du programme d'inspection que Saddam était accusé de ne pas respecter[45]. Augmentation des dépenses militaires (armes, habillements, véhicules...). Dès le lendemain du retrait total des forces américaines, Tareq al-Hachemi, chef du Parti islamique irakien, fait l'objet d'un mandat d'arrêt qui relance la crise confessionnelle. En outre, le bilan humain de l’hécatombe est considérable : quelques 680 000 morts et disparus (85% des tués ont été des combattants), 1,82 millions de blessés et mutilés. En 1992, la Commission Spéciale sur l'Irak (UNSCOM) a mis sur pied le Chemical Destruction Group (CDG), qui a opéré en Irak de 1992 à 1994, puis de nouveau en 1996. Consultez les articles de la rubrique International, Auparavant, elle était payée par les nations, ce qui entachait son indépendance, la nouvelle commission aura le droit de visiter les bases et les installations militaires irakiennes, en plus des usines suspectées de fabriquer des armes, les inspecteurs des Nations unies vérifieront les renseignements qui leur sont fournis par les autres États, mais « ce sera à sens unique Â». Philip Zelikow, « The Israel Lobby Â», London Review of Books, Letters, vol. La politique américaine a été fortement critiquée dans le monde. Elle a été publiée par The Journal of the American Medical Association et porte sur 88 235 soldats dont la moitié de réservistes. » Il cite « un nombre important de preuves crédibles[88] Â». Le 14 décembre 2003, Saddam Hussein, est arrêté par l'armée américaine. Entre 1991 et 1994, les inspecteurs ont découvert quarante laboratoires secrets de recherche nucléaire ainsi que trois programmes clandestins d'enrichissement d'uranium[réf. Le 10 janvier 2007, lors d'une allocution télévisée, le président annonce que 21 500 militaires supplémentaires seront envoyés en Irak pour permettre un retour à la paix plus rapide. Selon George Bush, l'Irak constitue une menace car il n'a pas hésité à utiliser des armes chimiques contre son peuple et n'hésitera par conséquent pas à les utiliser contre les Occidentaux. Le 24 septembre 2005, 100 à 300 000 manifestants[186] s'étaient rassemblés à Washington pour protester contre l'engagement américain en Irak. On assiste à un exode vers l'étranger de centaines de milliers de chrétiens syro-chaldéens pour échapper à la mort. Fin des sanctions des Nations unies, fin de l'embargo et du programme, Arrivée d'ONG telles que la Croix-Rouge, le Croissant-Rouge…. "Bagdad condamne l'intervention militaire turque, Ankara justifie son action contre le PKK", "Turkish Army Says Up To 100 Kurdish Rebels Killed In Northern Iraq", RFE/RL, 23 août 2011. Le mouvement a été particulièrement intense en Europe, où, selon les sondages, entre 70 et 90 % de la population était opposée à cette guerre. nécessaire], et les forces de l'armée régulière irakienne à Bassorah composé de la 6e division blindée irakienne et de la 51e division mécanisée irakienne de la Coalition. Attribué à Ansar al-Islam et Al-Qaïda en Irak, cette attaque marque le début d'un cycle de violences continue dans le pays. Cette fois, les unités irakiennes sont en deuxième échelon, elles aident à s'emparer de points critiques comme les mosquées et, surtout, à occuper les territoires conquis. Bibliographie sur la guerre d’Irak (2003) Bibliographie réalisée par le service informatique. Les forces de la Coalition passèrent à l'offensive terrestre à partir de 18 h 30 UTC quelques heures après le début les bombardements aériens contrairement à ce qui s'était passé lors de l'opération Tempête du désert[73]. Endettement massif des États-Unis à la suite des dépenses militaires et perte de leur statut de super puissance militaire et politique aux yeux de nombreuses nations en raison de leur échec à contrôler politiquement l'Irak. Ainsi, Joseph C. Wilson, ancien diplomate et chargé de la question de l’Irak, s’est vu confier par la CIA, en février 2002, l’enquête sur l’uranium nigérien dont aurait pu se servir Saddam pour son programme nucléaire. Les États-Unis demandent à la population civile de leur livrer quelque 5 millions d'armes qui leur auraient été confiées par le régime de Saddam Hussein et les menacent d'emprisonnement dans le cas d'un refus. Souvent les professeurs en Irak n’osent pas dire publiquement leur opinion. Le 27 novembre, l’Irak accepte que la nouvelle résolution de l’ONU soit mise en application et voit la reprise des inspections dès le lendemain. Les ravisseurs appartiennent à la guérilla (mouqawama, la « résistance Â» irakienne) menée par d’anciens baasistes des services de Saddam Hussein, des djihadistes étrangers, des islamistes et des salafistes. Leurs qualifications se limitent souvent à un niveau bachelier, alors qu’un master ou mieux un doctorat serait la norme. Dans un film d'investigation réalisé à Bagdad en novembre 2006, le journaliste Paul Moreira enquête par exemple sur une prise d'otage géante de 150 personnes au ministère de l'éducation supérieure, ayant eu lieu le 14 novembre 2006[127]. Le 10 septembre 2002, Philip Zelikow (en), proche des milieux gouvernementaux américains, prononce une allocution à l'université de Virginie. L'Espagne reste engagée seulement un an dans la coalition. Le 23 janvier 2004, David Kay (en), chargé de la recherche d'armes de destruction massive en Irak par le gouvernement des États-Unis, démissionne et proclame qu'il n'y a pas eu production d'armes de destruction massive depuis la fin de la première Guerre du Golfe - tout en ne condamnant pas l'intervention militaire. Une manifestation de soutien a lieu le 30 août à Paris. Les ravisseurs réclament l’abrogation de la loi sur les signes religieux à l'école qualifiée d’« injustice et d'agression contre l'islam et la liberté personnelle dans le pays de la liberté présumée Â». Mais le 2 août 1991, l'Irak aurait admis effectuer des recherches sur des armes biologiques « Ã  but défensif Â»[44]. Mais les violences continuent. Seconde bataille de Falloujah « Phantom Fury Â» Operation Phantom Fury. Ainsi, pour Renaud Girard, « la guerre d'invasion anglo-saxonne de 2003 en Irak a provoqué une guerre civile entre les chiites et les sunnites, qui n'existait pas avant. Cependant, le nombre et le type d'armes que l'Irak a détruit n'a pas pu être vérifié[81]. L'armée américaine a pris le contrôle de la capitale avec une série de raids blindés qui ont facilement réduit une faible résistance, mal organisée, de la Garde républicaine chargée de la protection des palais présidentiels, et de divers groupes paramilitaires. nécessaire]. Les champs pétrolifères du sud sont préservés, le contrôle aérien est effectif, les forces américaines sont déployées à cinquante miles de Baghdad. Aux opérations de recherches et destructions s'ajoutent celles voulant s'assurer le retour à la vie civile des insurgés comme l'Opération Restore Peace III. Rumsfeld a expliqué aux journalistes que même lorsque les inspecteurs des Nations unies étaient en Irak dans les années 1990, « la plus grande partie de ce qu'ils ont découvert était le résultat d'informations provenant de transfuges Â». Le 14 février 2003, le ministre français des affaires étrangères Dominique de Villepin déclare dans un discours remarqué que « l'intervention militaire serait la pire des solutions. Que sait-on du Boeing porté disparu en Indonésie ? Le président américain a notamment déclaré que ses propos avaient « envoyé de mauvais signaux Â», que « les choses ne se sont pas déroulées comme nous l'avions espéré Â» et que « la plus grosse erreur, du moins en ce qui concerne l'implication de notre pays, c'est Abou Ghraïb Â»[109]. 28, n° 10, 25 mai 2006. Selon l'étude, 60 % des victimes du conflit ont été tuées par balles, environ 13 % dans des attaques à la voiture piégée et 9 % dans des explosions diverses[157]. États-Unis : un pilote d'avion menace des partisans de Trump de les... Les Kirghiz élisent leur président, le populiste Japarov largement... Boeing disparu en Indonésie : la marine détecte un signal émis par... 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